Laroquebrou pour pêcher la truite au vairon, à quelques kilomètres d'Aurillac dans le Cantal, est une petite ville accueillante qui attire de nombreux aventuriers tels que les pêcheurs, les kayakistes et les randonneurs.
La rivière Cère traverse cette région et est connue pour ses rapides magnifiques et dangereux et ses gorges.
La pêche à la truite est l'une des activités les plus populaires dans la région et c'est quelque chose que j'ai eu le plaisir d'expérimenter de première main lors de mon voyage à Laroquebrou.
Dès notre arrivée, mon ami m'a montré tous les meilleurs endroits où pêcher le long de la rivière, me donnant des conseils sur les leurres à utiliser et sur la façon de lancer ma ligne pour obtenir plus de touches.
Nous avons passé des heures à chaque endroit en essayant différentes techniques jusqu'à ce que notre patience soit récompensée, nous avons réussi à attraper plusieurs truites de belle taille !
Non seulement c'était une expérience agréable, mais j'ai aussi beaucoup appris sur la pêche de la truite ce jour-là, ce qui m'a rendu encore plus passionné par cette belle activité.
Avec ses paysages magnifiques et ses possibilités de pêche exceptionnelles, Laroquebrou est devenu l'un de mes endroits préférés à visiter dès que j'en ai l'occasion.
Hébergement
Notre hébergement dans la campagne de St. Illide était une merveilleuse pension de famille dans une ancienne gare.
Nous avons eu l'occasion d'aider à la préparation des repas, et nous avons choisi de manger du chou farci - une spécialité locale.
Pendant notre court séjour de quatre jours, nous avons pu explorer tous les ruisseaux et rivières de la région. Avec sa verdure luxuriante, ses eaux cristallines et sa faune abondante, ce fut une expérience vraiment inoubliable.
Ce soir-là, nous avons dégusté un somptueux repas composé de chou farci et de tous ses ingrédients savoureux : riz, tomates, poivrons, épices, oignon et ail - le tout cuit ensemble pour créer un délicieux mélange d'arômes et de saveurs qui nous a laissé sur notre faim !
L'hospitalité de nos hôtes était également excellente ; ils ont toujours veillé à ce que tout se passe bien et à ce que nous soyons à l'aise pendant notre séjour. Il n'est pas étonnant que cet endroit reste l'une de nos destinations préférées !
Matériel
Pour ma pêche de la truite au vairon, j'ai réuni tout le matériel nécessaire pour m'assurer une journée de pêche réussie.
J'ai utilisé ma canne Pezon et Michel avec un moulinet Contact, qui avait une ligne de corps 26/100. En plus de cette installation de base, j'ai ajouté un bas de ligne de 22/100 avec un nœud de baril et un appât vivant au bout.
Pour compléter mon arsenal, j'ai apporté de la chevrotine l'histoire de lester ma monture pour la précision des lancers et un filet pliant pour attraper les poissons.
En outre, j'étais équipé de mon waders pour patauger dans les cours d'eau, ainsi que d'un sac à dos rempli d'appâts vivants (vairons) que nous avons récoltés dans les cours d'eau environnants la veille.
Enfin, ma boîte à pêche contenait des bobines de nylon et divers fils pour attacher les montages.
Avec cet équipement soigneusement sélectionné, j'étais prêt à passer une journée agréable et réussie à pêcher la truite !
Truite au vairon
J'ai passé un total de trois jours à pêcher la truite au vairon, et les résultats ont été plutôt bons.
Le premier jour, j'ai attrapé un capot, et quelques cassures dans le fond.
Le deuxième jour a été bien meilleur, puisque j'ai attrapé plusieurs poissons, dont une arc, ce qui m'a déçu plus ou moins en raison de sa taille, mais qui a tout de même fourni un combat fort agréable.
Enfin, le troisième jour, j'ai réussi à attraper une sauvage de plus de quarante centimètres et deux autres mesurant vingt-cinq centimètres en plus une casse.
De plus, il y avait un autre pêcheur dans le secteur qui semblait avoir fait du bon travail vu la taille de son sac.
Lui aussi pêchait avec des vairons, mais il semblait l'utiliser d'une manière différente de la mienne, il le déplaçait de haut en bas au-dessus des gouffres, comme on utilise une balle pour pêcher le carnassier, étonnant mais efficace apparemment.
Dans l'ensemble, mon séjour s'est bien déroulé, avec de nombreuses prises et des moments agréables pour mon pote et moi.
Truite à la mouche
En discutant avec quelques pêcheurs du côté du camping,j'ai appris que comme partout ici aussi il y avait des lâchers mais bon,il y a aussi des sauvages comme on dit.
Le premier soir,avec Marco,nous avons pêcher au dessus de Laroquebrou sur un grand plat où il y avait énormément de gobages (ce n'est rien de le dire) et bien entendu,nous n'avons rien pris.
Toute ma boite à mouche y est passée et je suis même descendu en 6/100 pour voir tout en sachant que si j'en pique une c'est la casse!
Mais pas une touche les truites ne semblent pas intéressées par mes mouches.
Pas la bonne mouche
A la pension,en dînant avec Marco et nos dames,celui-ci me dit que nous n'avons pas la bonne mouche et que nous n'allons rien prendre,vous savez comme moi que si ce n'est pas la bonne et bien pas de truites.
Mais ce que Marco a oublié de me dire c'est qu'il a ramassé ces fameuses mouches de la Cère et après avoir fini de dîner, direction les étaux pour une séance de montage.
Nos mouches,une fois terminées ne sont pas jolies jolies mais nous verrons bien le lendemain si cela marche.
Nos mouches me font peur, elles ne ressemblent à rien, c'est un croisement de Peute de Sedge et de fourmi.
De retour sur le secteur de la veille, nous testons nos créations et cela semble tenter quelques poissons qui se déplacent pour venir voir mais pas de prises ce soir là.
Depuis le début de saison
À notre décharge,il faut bien dire que des mouches elles en ont vu passer un paquet depuis le début de saison et qu'en plus elles sont vraiment très méfiantes donc c'est encore plus difficile.
Le troisième jour je ne rentre pas trop tard car nous avons prévu de faire une balade à Aurillac pour nos dames et pour nous un ptit coup de pêche dans le secteur.
Je n'en suis pas absolument sûr mais il me semble bien que c'est la Cère qui coule ici aussi.
Nous avons décidé avec Marco de pêcher au vairon.
En fin de soirée c'est la fête puisque je touche un bel Ombre de plus de cinquante qui a mordu sur mon vairon,ce n'est pas la première fois que cela m'arrive car sur la rivière l'Huisne dans l'Orne, cela m'est déjà arrivé.
Nous avons juste le temps de faire le coup du soir et à peine arrivée nous attaquons avec Marco.
Nous allons pêcher deux heures et pour ma part,c'est la capote mais pour Marco c'est deux belles farios prisent avec nos supers créations comme quoi!
En conclusion
En conclusion, que vous soyez un pêcheur professionnel ou quelqu'un qui n'a aucune expérience de la pêche, la Cère vaut vraiment la peine que vous y consacriez du temps et de l'énergie.
Elle est pleine de surprises et d'une grande variété de poissons qui peuvent se battre très fort.
Même si vous n'attrapez rien, ce sera une expérience dont vous vous souviendrez pendant des années.
J'espère que ce post sur la pêche dans la Cère vous a été utile d'une manière ou d'une autre et que je vous ai encouragé à tenter votre chance à la pêche là-bas.
De plus, quoi qu'il arrive, ce sera certainement une sortie amusante et une occasion incroyable de vous immerger dans cette belle région de France.
Si vous décidez de relever ce défi, nous serions ravis de connaître votre expérience ! Faites-le nous savoir dans un commentaire - nous sommes impatients de le lire !